• Communiqué des Clubs « Penser la France »

    En cette date anniversaire de l' « Appel du 18 juin », la convocation du Congrès par le chef de l'Etat français afin qu'il s'exprime devant la représentation nationale est une entorse grave à l'esprit comme à la lettre de notre République !

    Nous appelons tous les députés d'opposition - digne de ce nom, de ce beau nom de représentant de la Nation - à boycotter cette célébration digne d'un « Conducator » lamentable !

    BOYCOTTEZ le CONGRES !


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  •  

    Où va le Pakistan ?

    Lundi 22 juin 2009 à 18h

    Maison de la Chimie,

    28, rue Saint Dominique

    75007 Paris

    Avec la participation de : Mariam Abou Zahab, chercheur au CERI et chargée de cours à l'INALCO ; Amélie Blom, chercheur associé au département de sciences sociales de la Lahore University of Management Sciences ; Loïc Hennekinne, Ambassadeur de France ; Jean-Luc Racine, directeur de recherche au CNRS, chercheur au Centre d'études de l'Inde et de l'Asie du Sud à l'EHESS ; Max Zins, chargé de recherches au CNRS et au CERI et Jean-Pierre Chevènement, Président de la Fondation Res Publica

    Inscription : res-publica@wanadoo.fr


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  • Face à l'Europe libérale, construire un projet pour les couches populaires !


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  • "Election européenne : le refus des Français !"


    - Communiqué des Clubs "Penser la France" -

     

    En refusant de participer à cette élection, les Français ont délivré un double message : ils refusent les politiques libérales qui les plongent dans le désarroi, ils refusent un système organisé de confiscation démocratique.

    Au refus des politiques libérales s'ajoute dorénavant le rejet d'un système.

    La crise politique est donc profonde, grave.

    Tous les mouvements opposés à cette double dérive auraient dû refuser de participer à cette élection. Ils l'ont d'ailleurs très chèrement payé.

    Seuls les libéraux au service du système ont pu se mobiliser.

    Rien d'étonnant alors que l'UMP et les écologistes de Daniel Cohn-Bendit arrivent ainsi en tête : ils sont l'avers et le revers de la même pièce de monnaie libérale. Daniel Cohn-Bendit ayant assuré par une « critique constructive » de tous les traités libéraux, leur succès constant au service d'un système.

    Le très mauvais score du Parti socialiste s'explique largement par la schizophrénie de ce mouvement partagé entre des dirigeants acquis au libéralisme et un électorat de plus en plus réfractaire à ces choix. Le Parti socialiste paye aujourd'hui ses ambigüités et ses contradictions, non encore résolues.

    Le Modem reste certainement l'exemple le plus parfait de cette élection détournée. Si François Bayrou n'a pas su éviter les nombreux pièges qui lui ont été tendus, on ne peut que s'étonner de voir la Démocratie chrétienne, le plus européen des mouvements français,  enregistrer un échec aussi magistral. Ce parti s'est positionné contre les tenants du système libéral et le système sans pitié l'a aussitôt sanctionné.

    Cette élection européenne apparaît doublement significative.

    Elle souligne la prise de conscience des français sur le fait que le système représentatif qui leur est imposé est un piège, duquel les partis politiques actuels ne peuvent les sortir.

    Elle illustre la gravité d'une crise politique prochainement démultipliée par une crise économique et sociale très importante.

    Dans ce contexte, comment ne pas voir que le vote écologique est d'abord un cri du cœur : les français comme les européens disent simplement leur désir de changer cette société au service d'un autre type de développement plus humain.

    Il nous faut donc aujourd'hui ouvrir de nouvelles perspectives, répondre à cette double crise par une double révolution.

    Avec la révolution républicaine, nous pouvons refonder notre démocratie.

    Avec la révolution socialiste, nous devons réaffirmer la priorité de l'humain au sein d'un nouveau type de société.

    Socialisme et République deviennent plus que jamais une priorité.

    Dans ce sens, nous devons travailler - dès aujourd'hui - à construire cette alternative véritable pour les Français.


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  • Assurément on ne désire pas Monsieur HUCHON à Nanterre pendant la campagne électorale. Durant cette période d'aucun revendique un statut d'extraterritorialité pour la Capitale des Hauts-de-Seine. Pour cause de campagne électorale Nanterre n'est plus en Ile-de-France !

    En dépit des débats sur la Métropole, sur le Grand Paris, sur la volonté revendiquée des élus de Nanterre de débattre  avec tout le monde sur le devenir de l'Ouest parisien, le syndrome du petit village gaulois a encore frappé. Chassez le naturel, il revient au galop. Le village de PETIBONVM résiste. Le chef des Parisis le proclame urbi et orbi "nul ne vient à Nanterre sans avoir reçu sa bénédiction".

    A Nanterre une union réduite aux aguets.

    Isidore GRAINDESEL


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